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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 20:00

 

Date de sortie 6 novembre 2013

 

Inside-Llewyn-Davis---Affiche.gif


Réalisé par Ethan Coen et Joel Coen


Avec Oscar Isaac, Carey Mulligan, Justin Timberlake,

Ethan Phillips, John Goodman, Garrett Hedlund, Adam Driver,

F. Murray Abraham, Max Casella, Jerry Grayson, Stark Sands

 
Genre Drame, Musical


Production Américaine

 

Inside Llewyn Davis Grand Prix au festival de Cannes 2013

 

Inside Llewyn Davis est lointainement inspiré de la vie du chanteur Dave Van Ronk. Chanteur de folk à New-York, le personnage de Llewyn a aussi vécu au sein de la classe ouvrière et navigué entre sa passion et un travail dans la marine marchande. On retrouve d'ailleurs dans le film quelques titres du célèbre chanteur de la scène musicale du Greenwich Village.

 

Le comédien Oscar Isaac donne de la voix pour Inside Llewyn Davis puisque c'est lui qui interprète les chansons à l'écran. S'il est connu pour son travail en tant qu'acteur, le Guatémalien chantait et jouait de la guitare dans son groupe The Blinking Underdogs avant de se faire repérer sur grand écran.

 

Inside-Llewyn-Davis---Oscar-Isaac.gif


Oscar Isaac

 

Synopsis

 

Inside Llewyn Davis raconte une semaine de la vie d'un jeune chanteur de folk dans l'univers musical de Greenwich Village en 1961.

 

Llewyn Davis (Oscar Isaac) musicien et chanteur de folk exceptionnellement doué tente de se faire une place sur la scène folk new-yorkaise. Alors qu'un hiver rigoureux sévit sur New York, le jeune homme sur la paille, sa guitare à la main, lutte pour gagner sa vie comme musicien et affronte des obstacles qui semblent insurmontables, à commencer par ceux qu'il se crée lui-même.


Il erre dans Greenwich Village, ancien quartier bohème porté sur la contre-culture et la liberté artistique.

 

Inside-Llewyn-Davis---Carey-Mulligan.gif Carey Mulligan


Parmi ses rivaux figurent le couple formé par Jean (Carey Mulligan), son ex, qui se prétend être enceinte de lui, tout en entamant une nouvelle relation avec l'insipide Jim Berkey (Justin Timberlake), avide de stabilité.

 

Il subit, en outre, le mépris humiliant de sa sœur pour sa condition de crève-la-faim et se fait  pourrir la vie  par un musicien de jazz, boiteux, obès, drogué et acariâtre (John Goodman)

 

Malgré son talent, Llewyn va de déconvenues et déconvenues.

 

Poète-chanteur sans le sou, sans domicile fixe, il ne survit que grâce à l'aide que lui apportent des amis ou des inconnus, en acceptant n'importe quel petit boulot et désespère de percer un jour.

 

   Inside-Llewyn-Davis---Oscar-Isaac-et--Justin-Timberlake.gif


Oscar Isaac et  Justin Timberlake

 

Des cafés du Village à un club désert de Chicago, ses mésaventures le conduisent jusqu'à une audition pour le géant de la musique Bud Grossman (F. Murray Abraham), qui n'a que mépris pour les musiciens folk. Contre toute attente, celui-ci finit par lui proposer une audition...

 

Avant de retourner là d'où il vient.

 

Inside-Llewyn-Davis---Oscar-Isaac-copie-1.gif.Inside-Llewyn-Davis---Oscar-Isaac-copie-2.gif

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Le Directeur de la photographie, Bruno Delbonnel, magnifie les couleurs de l'hiver qui oscillent entre le beige délavé, le blancs sale et les gris harmonieux.

 

Certaines chansons de la bande-originale d'Inside Llewyn Davis ont été composées ou réarrangées par Marcus Mumford, leader du groupe Mumford & Sons. Majoritairement composée de reprises, la bande-originale d'Inside Llewyn Davis est produite par le musicien T-Bone Burnett, qui retrouve les frères Coen après les précédents films O'Brother et Ladykillers.

 

 

 

Mon opinion 

 

Un nouveau film des frères Cohen. Je ne cherche pas à me rappeler lequel j'ai préféré, ou celui qui aurait pu me laisser le plus pâle souvenir. Reste un ensemble de souvenirs qui ressemble un peu aux montagnes russes.

Inside Llewyn Davis me séduit d'emblée par la magnifique photographie de Bruno Delbonnel. 

La bande originale composée par Marcus Mumford m'emballe tout autant. Du début à la fin du film elle nous tient et nous transporte entre nostalgie et tristesse. Condition sine qua non, ne rien avoir contre le folk. Dans le cas contraire vous risquez fort de vous ennuyer.

Le scénario est parfaitement écrit. Un enchevêtrement de scènes, comme autant de situations qui flirtent habilement avec tous les sentiments qui vont des rires aux larmes, sans toutefois offrir le côté acerbe, que l'on connaît chez les réalisateurs, totalement absent ici. Pas de folie, donc, dans cette course vers la réussite et la renommée. La reconnaissance ne viendra jamais et laisse place à l'injustice d'un talent non reconnu. Le tout est  magnifiquement mis en scène.

Une histoire somme toute banale, filmée avec une grande simplicité.

Ce que j'ai aimé reste cette volonté délibérée de rester fidèle à ses choix, ses goûts et ses envies. Ici la musique folk. Sans avoir été totalement submergé par l'émotion, je ne renie pas le beau moment de cinéma ressenti.

Très facile de s'attacher au personnage de Llewyn Davis.

Oscar Isaac, en loser pas forcément sympathique et tout à fait pathétique, crève littéralement l'écran. Il trouve ici un grand rôle à la hauteur de son talent d'acteur et de chanteur. 

John Goodman, un fidèle des réalisateurs, est impeccable, comme à l'accoutumé et offre un beau moment avec Garrett Hedlund qui a abandonné la guitare de Country strong pour le rôle ténébreux de chauffeur et "valet" à la fois.

 

 

 

 

Sources :

http://www.telerama.fr

http://www.imdb.com

http://www.canalplus.fr

http://www.allocine.fr

5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 22:27

 

Saint-Gaudens - Le ciné d'Alain

 

 

 

Saint-Gaudens, est une ville de moyenne importance, au sud de la Haute Garonne, idéalement située entre Tarbes et Toulouse.

 

 

 

 

 

 

Dans la magnifique région qu'est le Comminges !

 

Pour découvrir la région … Cliquez ICI !

 

 

Saint-Gaudens-copie-1.gif

 

Le 3 décembre 2013

 

L'histoire de  Saint-Gaudens remonte à l'antiquité. Une voie romaine reliant Toulouse à Dax passait à proximité du site actuel de la ville, où se trouvait un domaine rural appelé Mansus. Des lieux de cultes païens existaient à l'emplacement de la collégiale.

 

Saint-Gaudens-5.gif.Saint-Gaudens-1.gif

 

25 juillet 2013

 

La Collégiale Saint-Pierre, date du XIème siècle. Elle fut modifiée au XVème et XIXème siècles, et classée monument historique en 1840. La partie du cloître provientde l'ancienne abbaye de Bonnefond également située dans le Comminges sur les communes de Proupiary et de Sepxest.

 

Devenue  bien national à la Révolution. L'abbaye est vendue.

 

Les bâtiments furent démantelés par les nouveaux propriétaires. Une grande partie du cloître est à Saint-Gaudens, le reste est aux États-Unis au musée des Cloîtres de New York.

 

Saint-Gaudens.gif.Saint-Gaudens-2.gif


Collégiale Saint-Pierre

 

Un autre lieu, aujourd'hui dédié à la culture. La Chapelle Saint-Jacques, dont la construction date de la première moitié du XVIIème siècle. Après plusieurs années de restauration, ce lieu d'expositions, créé par le service culturel de la ville de Saint-Gaudens en 1993, fut pendant deux ans en régie directe municipale, puis la gestion en fut confiée à une association loi 1901 en 1995.

 

Plus d'infos sur les expositions, cliquez ICI !

 

Le théâtre municipal Jean Marmignon propose une programmation riche, éclectique et toujours de qualité. Cliquez ICI pour la saison culturelle 2015/2016.

 

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Les amateurs de "vieilles pierres" seront comblés par de nombreux édifices classés aux monuments historiques :

Outre la collégiale Saint-Pierre, le cloître, vestige de l'abbaye de Bonnefond et la chapelle Saint-Jacques déjà citées dans l'article, notons : l'oratoire de Notre-Dame-de-la-Caoue, et la halle aux grains, classé aux monuments historiques
 
Saint-Gaudens domine le piémont pyrénéen et offre à ses habitants et touristes, une belle promenade le long de la chaîne.
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Saint-Gaudens-6.Saint-Gaudens-7.gif

 

Pour les amateurs de cinéma, Saint-Gaudens propose un complexe à taille humaine, convivial, moderne, confortable et situé en centre ville. Entièrement refait à neuf, celui-ci propose une riche programmation et des films en V.O.

 

Un grand plus qui a son importance, l'intérêt de la municipalité qui ne néglige en rien la culture, pour le plus grand confort de ses résidents. Oui c'est exact et possible !

 

Le Régent. Une bonne adresse à connaître, à découvrir, à partager.

 

Pour en savoir plus et découvrir la programmation ...

Cliquez sur l'affiche ci-dessous.

 

 

Un clic sur l'affiche pour lire l'article consacré au film.

Des films sortis en 2013

 

 

Dans le cadre du Festival 2013 des films d'Amérique Latine !

 

 

 

Les Classiques sur grand écran en 2013

 

 

.Le solitaire - Affiche-2.Dans la Chaleur de la nuit - Affiche.L'Asassin - Affiche.

 

 

Des films sortis en 2013

 

 

Perfect Mothers Blue Jasmine Players. Miele Alabama Monroe Sur le chemin de l'école Un château en italie Malvita Violette. Avant l'hiver 100% Cachemire Angélique Tel père, tel fils

 

 

Dans le cadre du Festival 2014 des films d'Amérique Latine !

 

 

Le médecin de famille "Wakolda".Enfance clandestine "Infancia clandestina".Rêves d'or "La jaula de oro".Les bruits de Recife "O Som ao Redor"

 

 

Des films sortis en 2014

 

Nebraska My Sweet Peppe Land La Chambre bleue Deux jours, une nuit Le Promeneur d'oiseau Jimmy's Hall Maestro Winter Sleep Party Girl Pride Magic in the Moonlight Une nouvelle amie Casanova variations Discount Night Call À la vie

 

 

 

Dans le cadre du Festival 2015 du cinéma Latino Américain !

 

 

L'Hommed es foules "O Homem das Multidões"

 

 

Des films sortis en 2015

 

 

L'Affaire SK1 Phoenix Mon Fils L'amour en pardonne pas Still Alice. Caprice Jamais de la Vie La Tête haute La belle saison Dheepan Les nuis blanches du facteur Marguerite

 

 

 

Des films sortis en 2016

 

 

L'Affaire SK1 L'Affaire SK1 Ave Cesar Le Trésor (Comoara).......

 

Un autre grand plus de Saint-Gaudens, sa superbe médiathèque.

 

Idéalement située avec vue imprenable sur la chaîne de montagnes et la volonté délibérée de la Communauté des communes, celle d'offrir à toutes à toutes et à tous un espace magnifique espace tout entier dédié à la culture et aux plaisirs de la découverte du cinéma, de la musique, ou tout simplement de l'étude.

 

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Des livres à faire pâlir les plus grands collectionneurs. Tout connaître sur la MGM, la Paramount ou le cinéma français. Redécouvrir Hitchcock dans les mots de Truffaut, rêver sur  les photos de Marilyn ou plus encore sur ce que le cinéma français nous donné de meilleur.

 

Du rêve, à chaque étage !

 

Celle-ci vous offre :

- Un espace musique et de consultation.

- Un point presse. 

- Une superbe collection de livres sur le Comminges.
- Un département de musique classique.

- Un autre dédié au Jazz

- Un troisième qualifié de musiques amplifiées.

 

Ajoutez un auditorium de 115 places, une salle d'exposition et une équipe accueillante et prête à satisfaire toutes vos demandes.


Tout ce qui peut paraître normal dans d'autres villes, reste dans la région en endroit d'exception. Assez rare pour être mentionné, quand les élus savent rester à l'écoute de leurs administrés.

 

Et bien entendu le Festival de Jazz de Saint Gaudens

qui n'a rien à envier à ses voisins du Gers !

 

  Pour découvrir la programmation 2015 ... Cliquez sur l'affiche ci-dessous !

 

 

 

Saint-Gaudens, c'est aussi son carnaval  le 1er mars !

 

Carnaval-de-Saint-Gaudens.gif.

 

5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 20:30

 

Très belle étape montagnarde dans le Piémont Pyrénéen.

 

Aux limites du Comminges, avant de plonger dans les Pyrénées Ariégeoises.


Le Portet d'Aspet.

 

Quasiment désertée pendant l'hiver, (moins de 100 Porterais), cette commune compte de nombreux touristes durant les vacances estivales, et surtout pendant les festivités, organisées tous les ans le week-end précédant la fête du 15 Août.

 

Portet-d'Aspet-.Portet-d-Aspet-1-copie-1.gif

Portet d’Aspet en Comminges le 5 novembre 2013


Une halte dans un endroit à nul autre pareil. Chez Jo. Labellisé "Bistrot de Pays".

 

En poussant  la porte d'un "Bistrot de Pays," les maîtres des lieus deviennent de véritables ambassadeurs de leur région.

 

Ils vous proposent la possibilité de déguster un repas complet élaboré à base de produits régionaux, vous feront également partager des conseils qui permettront aux plus curieux de découvrir les spécialités culinaires de la région.

 

 

Bistrot-de-pays

 

Le Label "Bistrot de Pays," est soumis à la charte ci-dessous :

 

L'opération "Bistrot de Pays" est une démarche originale mobilisant des établissements (bistrots, cafés, estaminets et autres débits de boissons) dans un projet de pays.

 

"Bistrot de Pays" a pour but, à travers un réseau local d'animation, de contribuer à la conservation et à l'animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien ou la recréation du café de village multiservices de proximité.

 

Un "Bistrot de Pays"doit donc :

 

Charte-Bistrot-de-pays- Être situé dans une commune rurale de moins de 2000 habitants.

- Constituer le dernier, ou l'un des derniers, commerce(s) du village.

- Être ouvert toute l'année.

- Proposer, autant que possible, les services de base non assurés par ailleurs dans le village (tels que dépôt de pain, de tabacs, de journaux, petite épicerie).

- Disposer des principaux documents d'informations touristiques locales.

- Organiser des animations festives et culturelles (au moins 3 par an).

- Promouvoir les produits du terroir.

- Proposer au minimum une restauration de type casse-croûte à tout heure, basée sur des produits régionaux.

- Dans le cas où une restauration complète est assurée, proposer des repas où les recettes et les produits du terroir tiennent une place prépondérante

 

Chez Jo.  Plus qu'un restaurant, une halte à privilégier pour les plus sportifs, amateurs de la "petite reine", motards, ou plus simplement pour tous les passionnés de nature, de grands espaces et d'authenticité.

 

Une grande terrasse surplombe la vallée en direction du Couserans Ariégeois.

 

À l'intérieur le décor s'harmonise à la rusticité de l'endroit.

 

Une grande cheminée et des murs en pierres, sur lesquels sont accrochés, pêle-mêle, outils et ustensiles d'hier, mêlés à des peluches pour rappeler que nous sommes ici au pays de l'ours.


Chez-Jo---Portet-d-Aspet-.gif.Chez-Jo---Portet-d-Aspet.gif

Chez-Jo---Portet-d-Aspet-copie-1.gif.Chez-Jo---Portet-d-Aspet-copie-2.gif

 

 

Une plongée dans la vie montagnarde au milieu d'une région magnifique, qui semble préservée.

 

Un endroit rare dans lequel l'accueil n'a d'égal que la cuisine qui se déguste sur de grandes tables en bois.

 

Infinie richesse que celle de se sentir heureux, à deux, et partout, quand tant d'autres sont malheureux partout.

 

Chez-Jo---Portet-d'Aspet-copie-3 Excellent déjeuner du 5 novembre 2013

 

La route continue, laissant derrière nous le Comminges pour s'enfoncer plus avant dans les Pyrénées Ariégeoises.


Le-Portet-d-Aspet---8-decembre-2013.gif


Portet d’Aspet 8 décembre 2013

 

Le décor reste magnifique sous le gris du ciel et le vent qui souffle en rafales.

 

Pyrenees-Ariegeoises.gif.Pyrenees-Ariegeoises-1.gif

 

Nous sommes arrivés. Tout près d'Andorre, dans le sud de mon Grand-Sud ! Ce n'est pas la fin du voyage. Juste une soirée qui commence. Un moment rare comme j'en souhaite à tous. Mais là, est une autre histoire.

 

"Chaque début d'écriture est un retour à la case départ.

Et la case départ, c'est un endroit où l'on se sent très seul.

Un endroit où aucun de vos accomplissements passés ne compte."

Selon Quentin Tarantino.

 

Retour obligé sous la pluie, mais par le chemin des écoliers.  

 

Nouvelle découverte dans le Comminges. Mane.

 

Commune au confluent des rivières de l'Arbas et du Salat à quelques vingt kilomètres de Saint-Gaudens.

 

Mane-.gif.Mane--copie-1.gif

 

Une nouvelle adresse, aussi. Le Café du Pont.

 

Pour mieux le découvrir ... cliquez ICI !

1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 20:00

 

Date de sortie 30 octobre 2013

 

Blood-Ties---Affiche.gif

 
Réalisé par Guillaume Canet


Avec Clive Owen, Billy Crudup, Marion Cotillard,

Mila Kunis, Matthias Schoenaerts, James Caan,

Lili Taylor, Zoë Saldaña, Noah Emmerich


Genre Policier


Production Américaine, Française

 

Blood Ties est le qutrième long-métrage réalisé par Guillaume Canet

après Mon idole, Ne le dis à personne et Les petits mouchoirs.



Synopsis

 

New York, 1974.

 

Chris Pierzynski, (Clive Owen) la cinquantaine, est libéré pour bonne conduite après plusieurs années de prison pour un règlement de compte meurtrier. Devant la prison, Frank, (Billy Crudup) son jeune frère, un flic prometteur, est là, à contrecœur.

 

Blood-Ties---Billy-Crudup-et-Clive-Owen.gif

 

Billy Crudup et Clive Owen

 

Ce ne sont pas seulement des choix de "carrières" qui ont séparé Chris et Frank, mais bien des choix de vies et une rivalité depuis l’enfance.

 

Leur père Léon, (James Caan) qui les a élevés seul, a toujours eu pour Chris une préférence affichée, malgré toutes ses erreurs et ses crimes

 

Blood Ties - Billy Crudup et James Caan Billy Crudup et James Caan

 

Frank espère que son frère a changé et veut lui donner sa chance : il le loge, lui trouve un travail, l’aide à renouer avec ses enfants et son ex-femme, Monica (Marion Cotillard) une une prostituée italienne.

 

Marion Cotillard Blood-Ties--Marion-Cotillard.gif

 

Chris rencontre Natalie (Mila Kunis), caissière dans une épicerie et y voit la promesse d'une nouvelle vie

 

Rattrapé par son passé, il replonge dans ses anciens travers.

 

Blodd-Ties---Clive-Owen-et-Mila-Kunis.gif Clive Owen et Mila Kunis

 

Pour Frank, c’est la dernière des trahisons, il ne fera plus rien pour Chris. Mais c'est déjà trop tard et le destin des deux frères restera lié à jamais.

 

Frank quitte la police et s’installe avec Vanessa (Zoë Saldaña), l'ex-compagne d’Antony Scarfo (Matthias Schoenaerts), un dangereux braqueur.

 

Blood-Ties---Matthias-Schoenaerts-et-Zoe-Saldana.gif

 

 Matthias Schoenaerts et Zoë Saldaña

 

Guillaume Canet a vite compris que pour réaliser un film aux États-Unis tout en gardant un minimum d’indépendance, il faut présenter un projet personnel. Il explique comment lui est venue l'idée de faire un remake des Liens du sang :  

 

"Au volant de ma voiture ! J’allais rejoindre mon ami, et directeur de la photo, Christophe Offenstein au ski. On est au tout début de l’année 2007. Et là, sans que je puisse expliquer pourquoi, Les Liens du sang me revient soudain à l’esprit. J’ai une relation particulière avec ce film. À l’époque, à la première lecture de son scénario, ce fut la toute première fois que j’ai eu envie de réaliser un film qu’on me proposait comme acteur. Pour autant, le tournage avait été un bonheur grâce à Jacques Maillot. Et j’avais beaucoup aimé le film. Soudain, tout est remonté à la surface. Je me suis dit que je tenais là la bonne idée."

 

Blood Ties - Clive Owen Clive Owen 

 
Quand il a décidé d’entreprendre l’adaptation américaine du long-métrage de Jacques Maillot, Guillaume Canet a appris que Ridley Scott cherchait également à en acheter les droits pour en tourner un remake. Le metteur en scène a donc dû agir plus vite que le réalisateur américain pour que son projet puisse voir le jour.

 

Le problème majeur qui s’est imposé à Guillaume Canet résidait dans la rédaction de son premier film américain, sans aucune aide : "Je me sens totalement incapable d’écrire seul un scénario en anglais", confie-t-il. Il a alors rencontré James Gray, sans se douter qu’il allait devenir son futur collaborateur. En effet, ce dernier était à la base censé conseiller à Guillaume Canet un scénariste disponible pour travailler sur Blood Ties : "Sa réponse fut aussi courte que surprenante : "Moi" ! Surprenante car il n’avait jamais jusque-là écrit pour quelqu’un", se rappelle le réalisateur.

 

       Matthias Schoenaerts Blood Ties - Matthias Schoenaerts

 

Mark Wahlberg souhaitait dès le départ prendre part au projet pour incarner Frank. Seulement, après avoir tourné dans La Nuit nous appartient, déjà scénarisé par James Gray et retraçant l’histoire de deux frères, l’acteur s'est décommandé au dernier moment, trouvant les deux films trop proches. Le réalisateur, qui pensait alors avoir trouvé son duo, s'est retrouvé dans une position délicate : "L’existence même du film s'est trouvée menacée car il était bien évidemment financé en grande partie sur son nom."

 

Le chanteur et compositeur français Maxim Nucci, dit Yodelice, signe la musique du premier film américain de Guillaume Canet après avoir été acteur pour le réalisateur dans Les petits mouchoirs et Ne le dis à personne.

 

Concernant la bande-son du film, le réalisateur reconnait :

 

"Je mettais là aussi comme d'habitude la musique sur le plateau avant les scènes.

 

Encore plus que jamais même car les chansons jouent un rôle essentiel dans l'atmosphère de l'époque que je souhaitais rendre à l'écran. Mais cette manière de faire a surpris mon équipe. En France, les techniciens adorent car ça les imprègnent de l'ambiance du film.


J'ai eu la chance de monter Blood Ties à la maison, ce qui vous met dans un état de concentration particulier. Maxim est venu chez moi en vacances. J'avais évidemment une idée derrière la tête, et je lui ai donc proposé de voir le film en l'état. Puis, dans la foulée, de re-visionner deux ou trois scènes, brancher une guitare et de jouer dessus pour voir ce que ça lui inspirait. Et, sur la scène où Franck raccompagne son frère Chris en prison, il a commencé à développer un thème sublime. Je lui ai donc logiquement proposé dans la foulée de faire la musique du film. 

 

Avec le temps, je me suis aperçu que je prends souvent trop de place avec les gens avec qui je travaille... Mais j'apprends ! Là, par exemple, on a connu une vraie difficulté à trouver la musique pour la scène finale de poursuite. J'avais sans doute noyé Maxim sous trop d'informations. Je l'ai donc rappelé un jour pour lui dire d'oublier toutes mes indications et de ne se fier qu'à son inspiration. Car à trop vouloir respecter ce que je lui demandais, sa musique était trop didactique et dénuée d'émotion. Et le lendemain, il m'a fait entendre un thème qui était le mix des deux qu'il avait créés pour les personnages de Chris et de Franck, l'un s'emballant pour venir se mélanger avec l'autre. J'ai trouvé l'idée magnifique et j'en ai eu la chair de poule."
Propos recueillis sur http://www.cinezik.org

 

 

Mon opinion:

 

Reconnaissons-le, Guillaume Canet ne fera jamais l'unanimité. Avec ce dernier "Blood Ties" encore moins que d'habitude.

 

Et pourtant. La reconstitution de l'époque m'a parue bien vue, très fouillée, judicieuse et parfaitement appropriée. Ces papiers peints grossièrement imprimés et mal assortis à ceux des canapés ne peuvent que rappeler des souvenirs, à celles et ceux de mon âge, qui ont connu semblables décors dans les années 70.

Une belle réussite donc, pour le chef décorateur, Ford Wheeler.

 

Deuxième point positif pour Michael Clancy et ses costumes. Les détails sont au maximum de tout ce qui parait à peine acceptable aujourd'hui. Les larges cravates aux couleurs criardes "délicieusement" assorties aux chemises à carreaux, à rayures, voire les deux mélangés, accrochent l'attention tant le réalisateur semble se délecter de tous ces détails que l'on ne peut que remarquer au travers des gros plans longs et appuyés.

 

Je le regrette mais n'ai pas accroché à grand-chose d'autre. Ou plutôt si, la belle photographie, du fidèle Christophe Offenstein.  

 

James Gray, dont on ne peut que saluer ses précédentes réalisations et scénarios est ici coscénariste avec le réalisateur. Son écriture précise, vive, mordante, et bien trempée est bien loin des souvenirs que j'ai gardé de "Little Odessa" et "The Yards", entre autres.

 

"Blood Ties" n'est rien d'autre que cent cinq minutes de pellicule pour quinze minutes de film. Et encore, faut-il attendre la fin, pour avoir un minimum de suspense, et porter un petit intérêt à cette histoire.

 

Les acteurs n'ont aucune possibilité pour s'imposer véritablement dans cette mise en scène lourde et trop présente.

 

Guillaume Canet s'est fait plaisir en oubliant celui du spectateur. Du mien en tout cas, puisque certains paraissent y avoir trouvé leur compte.

 

Sources

http://www.cinemovies.fr

http://www.allocine.fr

http://www.imdb.com

http://www.unifrance.org

31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 20:51

 

Date de sortie 23 octobre 2013

 

Gravity---Affiche.gif


Réalisé par Alfonso Cuarón


Avec Sandra Bullock et George Clooney

 

Avec les voix de Ed Harris, Eric Michels et Amy Warren

 
Genre Science fiction


Production Américaine et Britannique

 

Golden Globes 2014

- Meilleur réalisateur Alfonso Cuarón  

 

Oscars  2014

- Meilleur réalisateur Alfonso Cuarón

- Meilleure musique de film  Steven Price
- Meilleur montage   Alfonso Cuarón et Mark Sanger
- Meilleure photographie   Emmanuel Lubezki
- Meilleur montage son  Glenn Freemantle
- Meilleur mixage de son   Skip Lievsay, Niv Adiri, Christopher Benstead et Chris Munro
- Meilleurs effets visuels Timothy Webber, Chris Lawrence, Dave Shirk et Neil Corbould 


 

Les satellites hors d'usage et les déchets laissés par d'anciennes missions spatiales ont engendré une quantité importante de débris risquant de provoquer un accident catastrophique, comme ce qui se produit dans Gravity.

 

C'est un phénomène réel, baptisé "syndrome de Kessler" par la NASA. "C'est un vrai problème", indique le producteur David Heyman : "Chaque vis ou bout de ferraille qui a été abandonné ou jeté se retrouve en orbite et lorsqu'ils se percutent, ils créent davantage de débris encore. Cela met en danger la vie des astronautes, les vaisseaux spatiaux, voire les êtres humains sur Terre."

 

Gravity---Sandra-Bullock.gif


Sandra Bullock

 

Le scénario de Gravity a été coécrit par Alfonso Cuarón et son fils Jonás Cuarón.

Il s'agit de leur première collaboration scénaristique officielle. Compte tenu de la complexité technique du film, quatre ans et demi ont été nécessaires pour le faire.

Synopsis


Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone (Sandra Bullock), brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky (George Clooney).

 

Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers.

 

Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont perdu tout contact avec la Terre et la moindre chance d'être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène qu'il leur reste.


Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre...

 

À l'origine du projet Rachel Weisz, Naomi Watts, Natalie Portman, Marion Cotillard, Abbie Cornish, Carey Mulligan, Sienna Miller, Scarlett Johansson, Blake Lively, Rebecca Hall ou encore Olivia Wilde auraient été envisagées pour le rôle de Ryan Stone. C'est finalement Sandra Bullock qui sera retenue. Et c'est très bien ainsi. Pour le rôle de Matt Kowalsky c'est Robert Downey Jr. qui fut un temps en lice avant que le rôle ne soit en fait interprété par George Clooney.

 

Gravity---George-Clooney.gif


 George Clooney

 

Sandra Bullock et Alfonso Cuarón ont fait évoluer le personnage de Ryan à mesure du tournage, mais certaines idées étaient déjà bien arrêtées en amont. "Il était crucial, à nos yeux, que le personnage central soit une femme car on se disait qu'il y avait un lien vital entre sa présence maternelle et la Terre", indique le scénariste Jonás Cuarón. Pour lui, il était également nécessaire que cette femme soit une astronaute novice : "Elle a subi un entraînement, mais (...) quand la navette est détruite, elle ne sait pas du tout comment gérer une telle situation de crise", précise-t-il. "Pour que l'ensemble soit cohérent, il nous fallait aussi une sorte de mentor – un personnage capable de la guider et de lui venir en aide en cas de besoin", ajoute Alfonso Cuarón. D'où la présence du personnage de George Clooney.

 

Le passé du personnage de Sandra Bullock explique sa psychologie et son comportement. Le fait qu'elle ait perdu un enfant donne aussi une autre dimension à l'histoire, comme le remarque la comédienne : "Ryan a perdu un être cher. Elle s'est repliée sur elle-même. Lorsque j'ai parlé de Ryan avec Alfonso, on s'est aperçu qu'on avait la même conception du personnage, et qu'on se posait les mêmes questions à son sujet. Pourquoi nous replions-nous sur nous-mêmes quand nous subissons un drame, alors que c'est le contact humain qui pourrait nous sauver ? (…) En un sens, l'histoire de Ryan illustre à merveille l'adage 'Prenez garde à vos désirs' : elle voulait être seule, et son voeu a été exaucé."

 


Pour le réalisateur, Alfonso Cuarón, Gravity est aussi un film sur la solitude et son actrice a dû affronter le fait d'être seule à l'écran pendant la quasi-totalité du métrage. "Cela peut s'avérer très angoissant pour un acteur de se retrouver seul à l'image pendant longtemps, sans avoir de partenaire. Avec Sandra, nous avons pas mal discuté pour trouver le juste équilibre entre les propos qu'elle pourrait tenir et les gestes qu'elle pourrait faire afin d'exprimer les sentiments du personnage."

 
Afin de pouvoir rendre compte de la gravité "zéro", les équipes de Gravity ont mis au point une technologie totalement inédite, la "Light Box" : un cube aux parois intérieures constituées de panneaux couverts de minuscules lampes LED. Son objectif principal était d'offrir un éclairage que la méthode traditionnelle n'aurait pas permis, comme dans les scènes où Ryan tournoie dans l'espace. Les lampes, les caméras fixées sur des bras robotisés et les systèmes de rotation étaient dirigés à distance par ordinateur.


Gravity - Sandra Bullock-copie-1Pendant le tournage, la comédienne était souvent isolée dans la Light Box avec pour seul moyen de communication un dispositif d'oreillette, et un panel assez large de sons et de bruitages dans son casque, lui permettant de caler les émotions qu'elle devait exprimer avec le processus de tournage très mathématique. Un isolement répété qui, comme le note le cinéaste, "fait écho à la solitude de son personnage" et que Sandra Bullock a utilisé pour le nourrir : "Dès que je me sentais seule, frustrée ou désemparée, je me disais 'Sers-toi de cette sensation, vas-y, sers-en toi pour le rôle'."


Les équipes des effets visuels de Neil Corbould ont imaginé un dispositif d'une douzaine de câbles pour créer l'illusion que Sandra Bullock flottait en apesanteur. Les câbles classiques ne rendaient pas l'effet désiré, et Neil Corbloud a donc mis au point un système de câbles pouvant être manoeuvré manuellement ou par télécommande grâce à une réplique miniature informatisée du mécanisme. La NASA a coopéré lors des recherches, fournissant à l'équipe de Gravity de nombreux éléments de documentation. "On a eu une chance immense que la NASA accepte de nous transmettre leurs documents, et notamment sous forme de photos et de films d'archives", raconte Tim Webber, le superviseur des effets visuels. "D'ailleurs, les astronautes sont d'excellents photographes et nous avons récupéré des prises de vue spectaculaires. En regardant les clichés de la Station spatiale internationale, on se disait 'Si on arrivait à un tel résultat, personne ne croirait qu'il s'agit de la réalité'."

 

Gravity---George-Clooney-copie-1.gifL'univers est un environnement totalement silencieux, d'où la difficulté pour constituer la BO du film : "Certaines séquences sont entièrement silencieuses, mais nous nous sommes dit que si le film tout entier était plongé dans le silence, le spectateur aurait sans doute décroché", déclare, le metteur en scène. Avec Glenn Freemantle, qui a conçu les effets sonores, ils ont décidé d'associer le son au toucher : "Le son se propage à travers des vibrations. Lorsque Ryan touche ou heurte un objet, on l'entend à travers elle", précise ce dernier.


 

Mon opinion

 

 

Claustrophobe à l'extrême, et pas vraiment attiré par la science-fiction tout était réuni pour ne pas aller voir Gravity, sans les critiques élogieuses d'une connaissance.

 

Le film m'a bluffé pendant sa plus grande partie. La photographie est tout à fait spectaculaire et la mise en scène d'Alfonso Cuarón, particulièrement persuasive, donne l'impression d'être du voyage dans cette totale immersion. La 3D se mérite vraiment. La bande-son qui accompagne cette aventure est astucieuse et participe grandement à l'intérêt de l'ensemble.

 

Peu importe la vraisemblance, ou pas, du scénario. La plus grande réussite de Gravity reste l'exploit technique et cet extraordinaire voyage encore très loin des étoiles. Les effets spéciaux sont tout à fait spectaculaires. La terre vue de si haut ramène tout à sa place. Entre autres, le rien que nous sommes, en dépit de l'importance que certains veulent se donner. Cette image me plait. Le silence et la solitude qui règnent, aussi.

 

Une heure trente, juste suffisante, pour éviter des longueurs inutiles. J'ai finalement été totalement conquis pendant la projection, un peu désabusé quand je suis sorti de la salle. Restent bien présentes, néanmoins, les images de ce magnifique et incroyable voyage.

 

George Clooney, dans le second rôle s'amuse visiblement beaucoup. Sandra Bullock est de toutes les scènes et donne une véritable émotion à son personnage. Elle est superbe.

 

Des aboiements d'un chien, les pleurs d'un bébé et le voyage est fini. La fin est attendue, certes. Peu importe, en ce qui me concerne Gravity est un excellent moment de cinéma, dans le genre, tout à fait inhabituel et particulièrement réussi. Pas vraiment, non plus, une publicité alléchante pour le "tourisme spatial".

 

Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.cinemovies.fr

http://www.imdb.com

 

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mais beaucoup s'échinent à la transformer

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